Depuis Pékin, fin de l’Extrême-Orient, l’équipe a laissé le Japon derrière elle. Cap sur un nouveau continent, l’Amérique, vers des horizons différents. Les raiders abordent Fort Nelson, au nord-ouest du Canada. Fort Nelson, sur la route de l’Alaska, est le point de départ d’une dernière ligne droite de 18000 kilomètres, pour rejoindre la Terre de Feu, en plusieurs étapes. Aux côtés des jurés permanents, l’invité du plateau parisien est l’ancien ministre Alain Peyrefitte.
Les films proposés cette semaine (tournés en Chine):
- Belgique (RTL): Baojung et les saltimbanques (à 15’11 »)
- Canada (SRC): Le ciel sur mesure (à 23’45 »)
- Suisse (SSR): L’abri (à 29’20 »)
- France (A2): Avant-garde (à 36’09 »)
- Monaco (TMC): Sha Suo de Chaoyang (à 45’50 »)
Le Grand Raid est passé par dessus le Pacifique. Cinq décollages de Pékin à Fort Nelson, en passant par Shanghai, Tokyo, Vancouver et Fort Saint John; neuf heures de décalage horaire, quarante-huit heures de voyage. Nous sommes partis un soir et arrivés le matin du même jour. Les pendules à l’envers et les regards lointains. Je ne sais plus dans quel sens tourne la planète. Un grand virage pour nous tous: après l’Afrique et l’Asie, voici l’Amérique. Et le nord du Canada: Fort Nelson (sur la route menant à l’Alaska) nous fait rêver; les chiens de traîneaux et la police montée, la neige qui caresse les fenêtres épaisses, les scooters des neiges et les belles américaines. Nous voici à un autre bout du monde. Devant nous, la grande descente nord-sud jusqu’au Cap Horn. Premier problème: nos voitures ne sont pas arrivées. Et les raiders tournent, sac au dos. Le transitaire est en retard, les explications mystérieuses, le temps bien trop long. Cinq jours ont passé. Au bout de la semaine, nos voitures réapparaissent. Les serrures sont cassées, les boîtes à outils et les groupes électrogènes volés. Bonjour, l’Amérique! Cela ne s’est jamais produit en Afrique ni en Asie. Il faut improviser au jour le jour. Soirées calfeutrées derrière les vitres froides, avec les braises rouges et des histoires de loups et d’ours qui rôdent dans le village. – D.R.
- Téléchargez le sommaire de l’émission : Télé Star (PDF – 7 Mo).
Quelques petits commentaires…
1. Savoir je me souviens dans le livre du Grand Raid on m’entionnais que Benoit Jacques était malade en Chine et quand vous êtes parti de Fort Nelson vous l’avez quitté.Alors c’est quoi qu’il sagit de sa maladie je me souviens pas si vous l’avez mentionné dans une émission que vous avez changé de caméraman
2. Pour souligner le passage de Philippe de Dieuleveult j’aimerais ca qu’on essert dans le vidéo l’introduction De La Communauté des télévisions Francophone en hommage à philippe qui a traversé son émission de LA CARTE AUX TRÉSORS dans les mêmes chaînes qui ont diffusé Le Grand Raid. Un genre de clin d’oeuil
3. J’aimerais savoir si Didier Régnier a lu mes mes messages?
4. Finalement je voudrais savoir si on pourrait distribuer une copie des émissions puis la faire distribuer dans les bibliotheques. Car certaines bibliothèques ici au Québec font la location, le prêt de documentaires en DVD
Encore une fois bravo!!! Je viens voir le site à tous les jours…Comme j’ai dit dans le passé Grand Raid un Jour Grand Raid Toujours…
Salut Robert,
Le passage de P. de Dieuleveut aura lieu en juin, vers la fin. Benoit Jacques (sa « maladie »: épuisement total) a été remplacé par le caméraman Jean-Claude Freydier à partir du Canada. Jean-Claude est maintenant à la retraite et vient récemment de découvrir le site. Je suis en vacances et l’émission prendra un peu de retard dans les deux prochaines semaines. Désolé. J’essaierai de rattraper le coup avec le blog, les émissions, plein de photos des Amériques et le dossier de presse, près d’une centaine d’articles et de programmes télé que j’ai fini de scanner mais qu’il me reste à intégrer au site… Patience, patience…
Robert
Roberto,
Rendons au grand Voquer ce qui est à Voquer.
Car, c’est le grand Jean Claude Voquer qui a remplacé au pied levé, Benoit, malade. Quant’à moi jean Claude Freydier, au son, je vous ai quitté 3 semaines, pour une escapade sur une autre émission, avant de revenir vous rejoindre en Equateur.
Merci Robert pour ton boulot, qui nous permet de revivre ces moments de découvertes et qui, j’en suis sûr, donne le goût de l’aventure à beaucoup d’autres.
Bises à tous
A bientôt
Jean Claude autrefois au son, aujourd’hui à l’image.